Les événements marquants

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En 1917 le lycée est occupé par les services de l’arrière  (Général Nivelle à l’institut agricole). Foch installe ses bureaux à l’Hôtel de Ville.

L’école Pellerin s’installe à Félix Faure de 1922 à 1927

En 1920 est annexée l’ Ecole d’agriculture  d’hiver : cours donnés du 15 novembre au 15 mars.

Une salle Manceaux (peintre) est inaugurée au Lycée en novembre 1931, six ans avant sa mort.

Les bombardements de 1940 n’épargnèrent pas le Lycée, depuis la bombe de la rue d’Amiens le 20 mai…jusqu’à ceux du 5 et 6 juin.

5 et 6 Juin 1940 les bombardements touchent le Lycée comme la Cathédrale, l’Hôtel de Postes , les Hospices civils  l’Hôpital (situé alors au croisement de la rue d’Amiens et s’étendant quasi jusqu’au Lycée Jeanne Hachette.)  Ne nombreux habitants se réfugient dans les carrières  Saint Jean.
La ville est « un champ d’épouvante et de désolation » (Fauqueux p194). Beaucoup de réfugiés se retrouvent dans les carrières de Saint-Jean. Bientôt on occupe le Jeu de Paume où s’installent des baraquements pour loger ceux qui ont tout perdu…

Dans les années 50 depuis la gare jusqu’au Lycée ce n’étaient que baraques, linge qui sèche et pas mal de misère le long des boulevards. Face au lycée des organismes commencèrent à retrouver leur fonction : la sécurité sociale, la bourse du travail, les auberges de la Jeunesse etc…

C’est au Lycée Jeanne Hachette que réception fut donnée à Hitler et Goering après la visite à Morlaine d’un abri colossal…(Controverse des historiens….)

Un ancien professeur du Lycée De Cahen, quasi aveugle fut emmené à Royalieu et on ne sait ce qu’ils sont devenus, lui et son épouse !

En 1943 ce sont les bombardements Anglo-Américains qui touchent le Lycée !

La ville est libérée le 30 aôut 1944.